Santiago lors de l'un de mes décollages...Mais honnêtement, on ne s'en rend pas toujours compte. C'est surtout en regardant les montagnes (très bon indicateur) ou lorsqu'on rentre d'un séjour ailleurs, à l'air "propre", que cette pollution saute aux yeux (ou à la gorge! Enfin j'exagère, ça ne saute pas à la gorge, on s'en red compte, c'est tout). Il faut dire que c'est l'été aussi, la chaleur augmente la présence d'ozone. Et puis relativisons, il y a bien pire: Mexico, Beijin/Pékin... et à l'échelle sud-américaine, on m'a dit que Buenos Aires était bien plus smoky. Ici on voit le ciel (depuis le sol, j'entends).
Vivement l'air pur!