CInq mois de réadaptation. Je sors de mon hivernage bloggiste au lendemain d'une nouvelle décision, celle d'un nouveau semestre d'échange universitaire. Loin de l'Amérique du Sud, cette fois ce sera Stockholm, capitale suédoise.
Il s'en est passé des choses en six mois. Pour rester encore un peu sur ce continent qui m'est si cher, il y a eu le sauvetage des mineurs au Chili, à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Si c'est un formidable exploit humain, c'est surtout l'illustration du délabrement des mines et de l'indifférence des sociétés exploitantes étrangères envers les conditions sanitaires très précaires des mineurs, comme beaucoup d'autres catégories de travailleurs.
Ce fut la difficulté du retour, le blues, le manque de soleil, de chaleur, le retour à la routine, à une vie plus ordinaire. Les larmes, la difficulté de tourner la page, de se dire que c'était fini et point. Mais depuis ce retour, ce sont aussi les retrouvailles d'amis 'chiliens', comprenez "rencontrés au Chili'. Il y a eu Paris en Novembre, d'autres retrouvailles en Allemagne en Décembre-Janvier, une amie brésilienne de passage chez moi ces jours-ci et bientôt une Allemande et une Orléanaise. C'est également un Chilien qui est arrivé à Lille en Décembre pour y faire un an d'études, et que je regarde, amusée, s'étonner et s'adapter "à l'envers" de ma propre expérience.
Et puis, comme annoncé au début de cet article, la décision d'un nouveau départ pour Janvier 2012, cette fois-ci pour six mois, pour l'Université de Stockholm. Et d'autres projets encore, qui je l'espère tôt ou tard se réaliseront.
Il s'en est passé des choses en six mois. Pour rester encore un peu sur ce continent qui m'est si cher, il y a eu le sauvetage des mineurs au Chili, à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Si c'est un formidable exploit humain, c'est surtout l'illustration du délabrement des mines et de l'indifférence des sociétés exploitantes étrangères envers les conditions sanitaires très précaires des mineurs, comme beaucoup d'autres catégories de travailleurs.
Ce fut la difficulté du retour, le blues, le manque de soleil, de chaleur, le retour à la routine, à une vie plus ordinaire. Les larmes, la difficulté de tourner la page, de se dire que c'était fini et point. Mais depuis ce retour, ce sont aussi les retrouvailles d'amis 'chiliens', comprenez "rencontrés au Chili'. Il y a eu Paris en Novembre, d'autres retrouvailles en Allemagne en Décembre-Janvier, une amie brésilienne de passage chez moi ces jours-ci et bientôt une Allemande et une Orléanaise. C'est également un Chilien qui est arrivé à Lille en Décembre pour y faire un an d'études, et que je regarde, amusée, s'étonner et s'adapter "à l'envers" de ma propre expérience.
Et puis, comme annoncé au début de cet article, la décision d'un nouveau départ pour Janvier 2012, cette fois-ci pour six mois, pour l'Université de Stockholm. Et d'autres projets encore, qui je l'espère tôt ou tard se réaliseront.
Nobody said life would be easy,
they just promised it would likely be worth it
(Harvey MacKay)